Mac :: Comment changer son nom abrégé (login);

En plus de votre nom complet, Mac Os utilise un nom abrégé créé lors du paramétrage initial de votre Mac. Mais que se passe-t-il si vous ne l’aimez pas ou que vous éprouviez un besoin désespéré de le changer ? La solution : changer ce nom abrégé. Ce « Surnom » était inchangeable dans les versions précédentes de Mac OS. Voici comment faire avec Leopard :.

Ouvrir les préférences systèmes, puis cliquez sur le tableau « Comptes », cliquez sur l’icône de compte et pressez la touche Control ( ou click droit sur le nom de votre compte si votre souris a deux boutons).Dans le menu contextuel, sélectionnez « options avancées ».

Maintenant tapez le nom que vous voulez remplacer. Votre compte a maintenant un nouveau pseudonyme, que vous pourrez utiliser comme identifiant d’accès à votre ordinateur.

Mac :: Comment changer son nom abrégé

En plus de votre nom complet, Mac Os utilise un nom abrégé créé lors du paramétrage initial de votre Mac. Mais que se passe-t-il si vous ne l’aimez pas ou que vous éprouviez un besoin désespéré de le changer ? La solution : changer ce nom abrégé. Ce « Surnom » était inchangeable dans les versions précédentes de Mac OS. Voici comment faire avec Leopard :.

Ouvrir les préférences systèmes, puis cliquez sur le tableau « Comptes », cliquez sur l’icône de compte et pressez la touche Control ( ou clic droit sur le nom de votre compte si votre souris a deux boutons).Dans le menu contextuel, sélectionnez « options avancées ».

Maintenant tapez le nom que vous voulez remplacer. Votre compte a maintenant un nouveau pseudonyme, que vous pourrez utiliser comme identifiant d’accès à votre ordinateur.

Mac :: Comment pré-visualiser toute les polices installées

Il existe de nombreuses façons de visualiser les polices de caractère dans Mac OS X. La plus simple consiste à se rendre dans le répertoire « police » que vous trouverez dans votre répertoire personnel (la petite maison blanche), puis de naviguez jusqu’ au dossier « Bibliothèque » au sein duquel vous trouverez un répertoire du nom de « fonts ».

Dans ce répertoire, sélectionnez toutes les polices, le plus simple étant d’utiliser les touches « Command et a » puis d’activer « Quick Look ». Pour cela utilisez les touches « Command + Alt + Y ».

Toutes les polices présentes dans votre répertoire personnel s’afficheront les unes après les autres en utilisant le mode plein écran. Lorsqu’une police vous convient, cliquez sur la barre d’espace puis réduisez « Quick Look », le nom de la police apparaîtra en haut dans la fenêtre.

Hyper-V :: Exchange 2007 et SQL Server deviennent "virtualisable"

La raison technique s’appuie toujours sur le point faible de la virtualisation : les i/o. Ce que l’on appelle les accès disques, ces deux types d’applications font abondamment usage des accès en écriture et lecture sur les disques durs virtualisés.

Même si il est connu sur la place de Paris que certaines grosses entreprises de la finance ont virtualité “Exchange Sever” tout en ayant le support de Microsoft, cette démarche n’est pas courante même avec une âpre négociation avec Microsoft.

Microsoft lance un pavé dans la mare en proposant (promis pour septembre) de nous démontrer comment virtualiser SQL Server 2005 et Exchange Server 2007.

Quelques informations ont été publiées en Juin :

  • Le serveur hébergeant Exchange 2007 SP1 doit être : Windows 2008 Server.
  • Pas de disque dynamique.
  • Le SCSI est plus que recommandé.
  • La taille maximale d’un disque VHD est de 2 040 Go.

Nous en saurons plus en septembre…

Hyper-V :: Exchange 2007 et SQL Server deviennent "virtualisable"

La raison technique s’appuie toujours sur le point faible de la virtualisation : les i/o. Ce que l’on appelle les accès disques, ces deux types d’applications font abondamment usage des accès en écriture et lecture sur les disques durs virtualisés.

Même si il est connu sur la place de Paris que certaines grosses entreprises de la finance ont virtualité “Exchange Sever” tout en ayant le support de Microsoft, cette démarche n’est pas courante même avec une âpre négociation avec Microsoft.

Microsoft lance un pavé dans la mare en proposant (promis pour septembre) de nous démontrer comment virtualiser SQL Server 2005 et Exchange Server 2007.

Quelques informations ont été publiées en Juin :

  • Le serveur hébergeant Exchange 2007 SP1 doit être : Windows 2008 Server.

  • Pas de disque dynamique.

  • Le SCSI est plus que recommandé.

  • La taille maximale d’un disque VHD est de 2 040 Go.

Nous en saurons plus en septembre…

SharePoint :: WSS 3.0 et les licences

Les licences SharePoint WSS 3.0 :

Les licences nécessaires pour utiliser WSS 3.0 sont les suivantes :

– 1 licence serveur « Windows Server 2003 ou 2008 »
– 1 CAL pour accéder à ce serveur *.
– 1 CAL pour accéder au serveur SQL (si un serveur SQL externe est utilisé pour le stockage de données).

* La licence serveur accorde le droit à l’installation et à l’utilisation du système en « local » mais pas son accès à distance, pour cela il convient d’acheter des CAL (Client Access Licences).

Windows server 2003 : http://www.microsoft.com/france/windows/windowsserver2003/achetez/licensing/default.mspx

Windows server 2008 : http://www.microsoft.com/windowsserver2008/en/us/licensing-overview.aspx

Microsoft SQL Server 2005 : http://www.microsoft.com/sql/howtobuy/licensing.mspx

Quelle CAL pour quel scenario ?

Un serveur WSS 3.0 peut être utilisé afin d’adresser différentes audiences : la première interne à l’entreprise, il s’agit de l’INTRANET. La seconde ouverte sur l’extérieur ET aussi disponible en Interne est appelée EXTRANET.

L’INTRANET :

Dans cette approche vous devez acheter des CAL (Licence d’accès client en français) suivant deux options :

– par siège
– par serveur.

Le mode « par siège » laisse place aujourd’hui à deux options : « par utilisateur » ou « par poste » la seconde étant destinée à couvrir les besoins pour les produits comme les PDA ou Smartphone.

Dans le mode « par siège » il est important de noter que vous avez besoin d’une CAL par serveur adressé, ceci quelque soit la technologie en amont. Ainsi une architecture WSS composée de deux serveurs, l’un pour le site l’autre pour la base impose d’acheter DEUX CAL par utilisateur ou par poste.

Un accès direct au serveur n’est pas obligatoire, le fait d’utiliser une infrastructure multi-tiers est suffisant pour devoir acheter autant de licence que de serveur utilisé. D’ou l’intérêt économique de n’utiliser qu’un serveur pour les deux fonctions (WSS et SQl).

Le mode « par serveur » est aussi contraignant, deux CALS sont nécessaires à cela s’ajoute les besoins par d’anticipations.

Voici ce que dit Microsoft sur son site :

« Avec une licence par serveur, une CAL est associée à un serveur en particulier. Vous devez posséder au moins autant de licences CAL que le nombre maximal de PC susceptibles de se connecter à ce serveur. Seul Microsoft Windows Server peut être acheté de cette façon. »

(http://www.microsoft.com/France/acheter/acheter/comment/comprendre.mspx )

L’EXTRANET :

Ce mode est plus complexe car il lie deux audiences. Mais là Microsoft propose une option.

Par définition ces sites sont destinés à des utilisateurs externes, tel des partenaires, filiales etc. Le plus souvent ces sociétés ont leur propre annuaire que ne repose pas sur l’Active Directory de votre entreprise.

L’authentification est donc interne à SharePoint. Pour ces sites Microsoft propose « External Connector Licences ».

Cette licence offre un nombre illimité d’accès à votre site WSS, sous réserve qu’il n’y ait pas d’authentification sur votre AD, car l’utilisation de l’Active Directory impose l’usage des CAL par utilisateur ou par serveur, vous n’avez pas d’autres choix.

Encore une fois vous devrez acquérir une licence « External Connector Licences » pour le serveur WSS et une seconde licence pour le serveur SQL (si utilisé).

Tout n’est pas si noir.

Souvent oublié Microsoft propose un serveur appelé « Windows Server 2003 Web Edition » ou « Windows Web Server 2008 ». Cette version ne nécessite pas de licence « External Connector Licences » ni de CAL, mais ne vous évitera pas d’acheter des CAL pour le serveur SQL (si utilisé en externe).

(http://www.microsoft.com/france/windows/windowsserver2003/achetez/faq.mspx)

Attention aux limitations de cette version, comparez !

(http://www.microsoft.com/france/windows/windowsserver2003/evaluez/version.mspx )

SharePoint :: NLB et multicast

Le NLB fait partie de l’arsenal proposé par Microsoft pour répartir la charge entre plusieurs serveurs.

Son origine remonte à Windows NT 4.0. Plusieurs améliorations sont apparues au fil des versions de Windows Server.

Depuis la version Windows Server 2003, NLB gère l’IGMP (Internet Group Management Protocol). IGMP est utile uniquement dans un mode de configuration de NLB appelé « multicast mode ».

Celui-ci est utilisé lorsque vos serveurs n’ont qu’une seule carte réseau, cette carte est donc utilisée pour la prise en charge des requêtes mais aussi la communication inter-server qui se fait au moyen du Multicast.

Dans certaines configuration le multicast peut ” inonder ” (flood an Anglais) un Switch, notamment lorsqu’il ne sait pas résoudre les adresses MAC des serveurs, il “inonde” le réseau de requêtes ARP, IGMP permet de limiter ce fait à un groupe de serveurs, ceci limitant l’impact des requêtes ARP sur le réseau.

En conclusion :

  • Vos serveurs ont 2 cartes réseau : NLB standard
  • Vos serveurs ont 1 seule carte réseau : NLB en mode multicast avec IGMP

Quelques liens :

  •  IGMP avec 2003 : http://support.microsoft.com/kb/283028
  • NLB technical Overview : http://technet.microsoft.com/en-us/library/bb742455.aspx
  • SharePoint :: NLB et multicast

     

    Le NLB fait parti de l’arsenal proposé par Microsoft pour répartir la charge entre plusieurs serveurs.

    Son origine remonte à Windows NT 4.0. Plusieurs améliorations sont apparues au fil des versions de Windows Server.

    Depuis la version Windows Server 2003, NLB gère l’IGMP (Internet Group Management Protocol). IGMP est utile uniquement dans un mode de configuration de NLB appelé « multicast mode ».

    Celui-ci est utilisé lorsque vos serveurs n’ont qu’une seule carte réseau, cette carte est donc utilisée pour la prise en charge des requêtes mais aussi la communication inter-server qui se fait au moyen du Multicast.

    Dans certaines configurations le multicast peut ” inonder ” (flood an Anglais) un Switch, notamment lorsqu’il ne sait pas résoudre les adresses MAC des serveurs, il “inonde” le réseau de requêtes ARP, IGMP permet de limiter ce fait à un groupe de serveurs, ceci limitant l’impact des requêtes ARP sur le réseau.

    En conclusion :

    • Vos serveurs ont 2 cartes réseau : NLB standard
    • Vos serveurs ont 1 seule carte réseau : NLB en mode multicast avec IGMP

    Quelques liens :

  • IGMP avec 2003 : http://support.microsoft.com/kb/283028
  • NLB technical Overview : http://technet.microsoft.com/en-us/library/bb742455.aspx

  • SharePoint :: MOSS 2007 toolbox

    L’autre  « ressource Kit » de Sharepoint 2007, attention il n’est pas supporté par Microsoft.

     http://www.codeplex.com/sptoolbox

    SharePoint :: le modèle de protection des données

    Il s’agit d’un visio décrivant le modèle de « protection » des données, ce document présente differentes stragtégies de sauvegarde et restauration de MOSS 2007.

       Office SharePoint Server 2007 Data Protection and Recovery model

    Sharepoint :: Intégration Kerberos

    Un très bon article en anglais sur l’intégration de Sharepoint et Kerberso :
     

    iCal :: Et le Calendrier Google

    Ce lien vers une page d’aide du site de Google explique comment utiliser Google Calendar avec iCal.

    Google Calendar CalDAV support – Calendar Help Center

    Sécurité :: Faille DNS…

    Cet artcile relate l’attaque qu’a subi le révelateur de la faille DNS.

    Macworld | DNS attack writer a victim of his own creation

    PowerShell :: les options des Cmdlets

    Les commandes PowerShell, les « Cmdlets » supportent quelques options. Elles sont standards et sont à mémoriser, car leur usage s’ avère pertinent lors du débugage d’ un script.

    Option Résultats
    -confirm La commande sera executée après une validation.
    -debug Des informations détaillées sur l’ exécution de la commande seront retournées.
    -ErrorAction Cette option permet d’ exécuter une action dès la rencontre d’ une erreur.Les actions possibles sont :

    Continue L’ exécution du script continue.
    Inquire  
    SilentlyContinue  
    Stop Arret du script.
    -ErrorVariable Le résultat de l’ erreur sera affecté à une variable.
    -OutVariable Défini la variable utilisée devant recevoir le resultat de la commande.
    -OutBuffer  
    -verbose Le niveau de détail sera plus élevé.
    -whatif Cette option permet d’ évaluer les hypothèses, quelle sera le résultat de la commande.

    Mac :: Le ports TCP/IP, petite histoire…

    Pourquoi le port 1023 ? Pourquoi les ports jusqu’à 1023 sont-ils considérés comme « services connus» (« well know ports») ? Cela remonte au premier pas du protocole IP et d’Unix, en fait il s’agit d’une convention, les services qui s’exécutent sur les machines et qui utilisent des ports en dessous de 1024 sont des services qui nécessitent les droits ou privilèges « root », c’est-à-dire les plus élevés, ainsi un service FTP utilisant le port 21 avait besoin pour se lancer des droits » root », les choses ont évolués, et il est évident que sur certaines plateformes cela n’est plus la cas.

    A partir de 1024 et jusqu’à 49151 ils sont appelés «ports enregistrés» («Registered Ports»), généralement ils ont été attribué à un service ou protocole. Et enfin de 49152 à 65535 sont les «ports dynamiques et/ou privés» («Dynamic and/or Private Ports»).

    Petite dérivation du protocole FTP :

    FTP fut créé au tout début d’Internet en 1971 par le MIT (Massachussetts Institute of Technology) et il est définit dans la RFC 141 puis plus récemment dans la RFC 959.

    Contrairement aux autres protocoles, celui-ci utilise deux ports, un premier port pour échanger des commandes (Telnet sur le port 21), puis un second port ou seront échangées les données, nous avons donc l’utilisation d’un port « connu « et un port dynamique.

    Cette solution permet d’initier un transfert de données entre deux ordinateurs, et ceci à partir d’un 3ème, sans faire transiter les données à travers ce dernier.

    Liste des ports assignés par l’IANA : http://www.iana.org/assignments/port-numbers

    Liste des ports utilisés par Apple : http://docs.info.apple.com/article.html?artnum=106439

    Liste des RFC (en anglais) : http://www.rfc-editor.org/

    Liste des RFC (traduite en Français) : http://abcdrfc.free.fr/ ou http://www.diml.org/goodies/standards/

    Henri Dominique Rapin