La raison technique s’appuie toujours sur le point faible de la virtualisation : les i/o. Ce que l’on appelle les accès disques, ces deux types d’applications font abondamment usage des accès en écriture et lecture sur les disques durs virtualisés.
Même si il est connu sur la place de Paris que certaines grosses entreprises de la finance ont virtualité “Exchange Sever” tout en ayant le support de Microsoft, cette démarche n’est pas courante même avec une âpre négociation avec Microsoft.
Microsoft lance un pavé dans la mare en proposant (promis pour septembre) de nous démontrer comment virtualiser SQL Server 2005 et Exchange Server 2007.
Quelques informations ont été publiées en Juin :
-
Le serveur hébergeant Exchange 2007 SP1 doit être : Windows 2008 Server.
-
Pas de disque dynamique.
-
Le SCSI est plus que recommandé.
-
La taille maximale d’un disque VHD est de 2 040 Go.
Nous en saurons plus en septembre…